Résistances

En création

théâtre-fiction historique

12 ans et plus

Lodz. 1939. À l’aube de son entrée au secondaire, la vie de Régina et celles de ses amis est perturbée par la guerre.

Comment résister, même à l’aube de sa jeunesse, alors que le monde est envahi par la peur et la division ?

Comment peut-on rester soi-même quand une société, empoisonnée par une idéologie haineuse, nous met au banc des accusés ?

De l’adolescence de Régina, il ne reste aucune trace, sauf une petite grue en origami.

Alors qu’elle déplie l’oiseau, sa jeunesse reprend vie. Une jeunesse improbable où l’amitié, l’art, la culture et le papier sont les principales armes d’une étonnante quête de liberté.

Crédit affiche : Steve Poutré

Les personnages

équipe du laboratoire

«Quand les nazis sont venus chercher les communistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas communiste. Quand ils ont enfermé les sociaux-démocrates, je n’ai rien dit, je n’étais pas social-démocrate. Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n’ai rien dit, je n’étais pas syndicaliste. Quand ils sont venus me chercher, il ne restait plus personne pour protester.»

– Martin Niemöller

MOT De l'auteur

J’aime l’Histoire pour les histoires qu’elles cachent. Celles d’hommes et de femmes, de jeunes qui, par leur geste, sont restés la tête haute, digne à un moment où la suite du monde semblait impossible. En amorçant le processus de création du spectacle, je suis allé à la rencontre de jeunes pour explorer cette période sombre de l’humanité. Ensemble, nous nous sommes posé des questions, nous avons rencontré une survivante, nous avons pleuré et nous avons ri. Ce que je retiens de ces rencontres, c’est un besoin de lumière. C’est ce qui m’a guidé. Appuyé par le Musée de l’Holocauste et la Fondation Azrieli, je suis parti à la recherche d’espoir dans une des périodes les plus sombres de l’Histoire.

Ceux qui m’ont inspiré, s’ils sont vieux aujourd’hui, n’avaient que 13, 14, 15 ans à l’époque. Ils étaient jeunes. Il n’avait rien demandé. Il n’avait rien pour affronter ce monde dévasté par la haine et l’intolérance. Il n’avait rien. Sauf peut-être des amis, une imagination sans borne, un humour plus pertinent qu’il n’en a l’air et quelques bouts de papier, surtout du papier.

– Martin Lebrun

L’Équipe

Texte : Martin Lebrun

Mise en scène : Frédéric Bélanger

Conception sonore : Sébastien Watty-Langlois

Conception vidéo : Christian et Mathieu Lalumière

Conception d’éclairage : Pier-Luc Legault

résistances

-Une pièce en pleine création-

Un spectacle en devenir, porté par une équipe passionnée qui explore, questionne et bâtit un univers à la fois sensible et percutant.

Suivez-nous pour plonger dans les coulisses du processus et découvrir, au fil du temps, les visages, les thèmes et les choix artistiques qui façonneront cette œuvre.

Vous avez des questions ou souhaitez en savoir plus sur les étapes à venir ou les projets liés à cette création?

Écrivez-nous! Nous serons ravis de vous en parler.

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couverture médiatique

-Les échos-

Déjouer le Temps, Le Devoir

« Si l’histoire est menée avec rigueur par les comédiens, que la mise en scène très énergique — ponctuée de musique, de danse rappelant les différents pays visités — est tout aussi attrayante pour l’oeil que pour l’oreille, l’interaction avec le public ajoute à la réussite de la représentation. »

Montheatre.qc.ca

« Le tour du monde en 80 jours, de Jules Verne, écrit il y a près de 150 ans, n’aura pourtant jamais paru aussi éclatant d’énergie et de jeunesse que dans cette production du Théâtre Advienne que pourra. »

– Daphné Bathalon

Un voyage aux quatre coins du monde

« La pièce qui compte plusieurs lieux, faisant voyager ses spectateurs de Londres à New York, en passant par Bombay et Hong Kong, amène des défis supplémentaires au metteur en scène qui doit faire preuve de beaucoup d’ingéniosité afin de respecter ce texte qui compte une multitude d’aventures rocambolesques et quelques dizaines de personnages. »

– Louise Bourbonnais